Wilde et la nature humaine…

« Oscar Wilde, dont le nom complet est Oscar Fingal O’Flahertie Wills Wilde, est un écrivain irlandais, né à Dublin le 16 octobre 1854 et mort à Paris le 30 novembre 1900. Né dans la bourgeoisie irlandaise et protestante de Dublin, d’un père ophtalmologiste renommé et d’une mère poétesse, Oscar Wilde se distingue par un parcours scolaire brillant. Nourri de culture classique, couronné de prix au sein du Trinity College de Dublin, il intègre le Magdalene College de l’université d’Oxford, où il se construit un personnage d’esthète et de dandy, sous l’influence des préraphaélites et des théories de L’art pour l’art de Walter Pater, John Ruskin ou Whistler. À l’issue de ses études, Wilde s’installe à Londres, où il parvient à s’insérer dans la bonne société et les cercles cultivés, s’illustrant dans plusieurs genres littéraires. » (Extrait Wikipedia)

Quelques citations…

Quel lien entre Oscar Wilde et la psychologie ? À priori, aucun. Toutefois sur le lot de ses citations que l’on retrouve un peu partout sur le web, plusieurs portent à réflexion sur l’amour, le désir, le destin, la nature de l’homme. Il s’agit là de thèmes associés à la croissance et au développement personnel. Bien sûr, plusieurs de ses citations sur le mariage sont cyniques, sexistes même. Ces dernières ne sont pas reproduites ici. En voici plutôt quelques unes qui jetent un regard intéressant sur l’homme et son humanité… Avec parfois un brin d’humour.

OSCAR WILDE A DIT:

– L’homme veut être le premier amour de la femme, alors que la femme veut être le dernier amour de l’homme.

– Les folies sont les seules choses qu’on ne regrette jamais.

– Aimer, c’est se surpasser.

– N’importe qui peut sympathiser avec les souffrances d’un ami. Sympathiser avec ses succès exige une nature très délicate.

– Les enfants commencent par aimer leurs parents ; devenus grands, ils les jugent ; quelquefois, ils leur pardonnent.

– Il y a deux tragédies dans la vie : l’une est de ne pas satisfaire son désir et l’autre de le satisfaire.

– Quand les dieux veulent nous punir, ils exaucent nos prières.

– S’il est au monde quelque chose de plus fâcheux que d’être quelqu’un dont on parle, c’est assurément d’être quelqu’un dont on ne parle pas.

– Le public est extraordinairement tolérant. Il pardonne tout, sauf le génie.

– L’expérience est le nom que chacun donne à ses erreurs.

– La fatalité veut que l’on prenne toujours les bonnes résolutions trop tard.

– La vraie valeur d’un homme réside, non dans ce qu’il a, mais dans ce qu’il est.

– Le monde a été fait par les fous pour que les sages y vivent.

– C’est le mérite de la science, d’être exempte d’émotion.

– Sachez que je puis croire toute chose, pourvu qu’elles soient franchement incroyables.

– Se faire le spectateur de sa propre vie c’est échapper à toutes les souffrances de la vie.

– Il n’y a que deux sortes de gens attrayants ; ceux qui savent absolument tout et ceux qui ne savent absolument rien.

– L’émotion nous égare : c’est son principal mérite.

– Je déteste les discussions, elles vous font parfois changer d’avis.

– Quand les gens sont de mon avis, j’ai toujours le sentiment de m’être trompé.

– Si on vous donne un bon conseil, refilez-le vite à un autre.

– Si l’on a quelque chose de désagréable à dire, il vaut toujours mieux être franc.

– Les bonnes résolutions sont des chèques tirés sur une banque où l’on n’a pas de compte courant.

– Le pessimiste est celui qui, entre deux maux, choisit les deux.

– L’incertitude est l’essence même de l’aventure amoureuse.

– Si l’on veut retrouver sa jeunesse, il suffit d’en répéter les erreurs.


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